En guépière rose .

J'étais en guépiére rose assise au bord du lit.
La cousine s'immisca  entre mes jambes, sa langue éfleurait les bords de mon calice.
Et ses doigts farfoullait dans l'antre humide.
Quand on sonna à la porte, j'enfilai un kimono de soie et allait ouvrir ...

Guépière rose sur bas coutures noirs

J'ouvrais, c'était le chauffagiste pour l'entretien de la chaudière.
- Oh bonjour, j'avais oublié le rendez-vous entrez, suivez moi.
Le gars était tétanisé, mon kimino entre-ouvert sur ma guépière le subjugait, c'est vrai j'oubliais mais je n'avais pas de cullote.
Je le conduisit vers la chauffe-eau, il fixait mes bas coutures montés sur les stilettos.
- bon je vous laisse ... je retournais voir ma cousine.
La porte était entrebaillée , le plombier matait par l'entrebâillement de la porte.
Et la porte s'ouvrit.
- Oh pardon ! j'avais entendu du bruit, je vous laisse.
- Oh mais non, entrez , aprés la chaudière vous pour le ramonage ?
- Approchez.
J'etais à quatre pattes au dessus de la cousine qui me léchaoit ardament la cheminée.
Je mis la main sur  son entre-jambe et carressait la bosse.
- Hum, hum, ça m'a l'air bien garni là dedans.
Je défis le zip et la bête surgit, je l'absorbais immédiatement tournoyant la tête ma langue baveuse astiquait le pieu.
D'avant en arrière j'ingurgitait la coriace bête, je prenais un immense plaisir sutout avec les léches de la cousine qui continuaient en même temps.
Au bout d'un certain temps  il sorti pour pénétrer la gorge de la cousine, il s'enfonçait au plus profond tandis que je lèchais concensieusement l'antre humide.
Elle rugissait de plaisir.
Puis la cousine attrapa le sexe turgescent et le dirgea vers mon anus elle le poussait pour le faire pénéter.
D'avant en arriere il enfonçait son pieu délicatement, la cousine continuait a me lécher consencieusement.

Coutures sous guépière rose

L'esthéticienne arriva ce matin à son bureau, retira son imper, elle n'avait que sa blouse sur le corps et portait un petit bonnet.
Ses jambes interminables gansées de bas coutures brun clair enchâssaient de mignons escarpins roses à la semelle dorée et aux fins talons infinis.
Sa blouse était courte et n'arrivait qu'au ras des fesses, on pouvait voir ses magnifiques jarretelles roses ornées d'un petit nœud de ruban noir,
Les revers de ses bas brillaient dans les néons en de nappes irisées.


Et comme tous les jours elle s'apprêta à se laver les mains.
Elle fit couler l'eau chaude et le chauffe-eau s'alluma.
Là, une forte explosion retentie et le chauffe-eau s'embrasa.
Panique ! mais, gardant son sang-froid, elle prit son téléphone et appela les pompiers.
- Ne vous inquiétez pas, madame, on arrive tout suite, répondirent-ils au téléphone.
Et ils arrivèrent aussitôt. Extincteurs en mains ils maitrisèrent rapidement le début d'incendie.
- Et voilà, ma p'tite dame tout va bien, c'est terminé.
- Merci beaucoup.
- Oh là, la mignonne je pense que notre intervention mérite plus qu'un petit merci.
Il lui caressa la joue gentiment et posa sa main sur l'épaule en appuyant l’obligeant à se baisser, elle compris ce qu'il demandait  et s'agenouilla dégrafant le pantalon du soldat du feu.
Elle sorti la bête et entreprit de la lécher soigneusement de bas en haut puis entourant de ses lèvres le gland agitant la langue sur le pourtour et s'arrêtant sur le frein pour le tiller longuement de la pointe de sa langue.
- Oh bon dieu ! Qu'est-ce que c'est bon ! Oh dis donc elle sait y faire la p'tite, elle connait bien son affaire.
A côté le collègue se déshabillait, il s'approcha la vergue fièrement dressée, elle passa sa main sur pot de crème ouvert et attrapa la bête pour un massage en bonne et due forme.
Puis elle la prit en bouche, masturbant en tournant la première.
Finalement elle rapprocha les deux, glissa sa langue entre puis les avala.
- Oh oui tu as raison elle est vraiment bonne, sa langue qui frétille partout c'est incommensurable, gigantesque.
La bouche grande ouverte sa langue passait tour à tour de l'une à l’autre.
- Venez les gars y'a encore de la place.
Un nouveau gars entra, il mit sa main dans le pot de crème et l'appliqua entre ses fesses en insérant ses doigts dans le trou.
Il élargi le trou en balançant ses deux doigts puis se glissa sous elle et posa son gland sur l'orifice béant.
Il pénétra sans mal, la cavité étant enduite de crème, elle eut juste un petit cri mais continua son travail minutieusement.
Elle s'enfonçait sur le pieu peu à peu jusqu'au plus profond possible, elle oscillait pour mieux sentir la pénétration.
Elle montait descendait le long du membre tendu.
Un gars arriva et s'inséra entre ses jambes pour lui bouffer la chatte.
Il posa ses lèvres sur la vulve et sorti sa langue, il léchait comme un chat et sa langue s'enfonçant dans les profondeurs du vagin.
Puis il glissa les doigts caressant l'entre jambe et pénétra les doigts dans l'antre humide.
Ses doigts s'agitait à l'intérieur c'était du velours.
Elle avait la bouche grande ouverte et d’hurlants vagissements en sortaient, "Ahh, Ahh",
Des jets de fluide éructaient de son trou humide.
Elle était accoudée au divan d'examen, derrière les gars se pâmaient :
- Quel bombe cette nana !
- Quelles jambes !
- Quand on remonte du regard, en partant des hauts talons, les coutures de ses bas jusqu'au revers bruns moirés on est transporté au nirvana.
- Ben moi je bande comme un taureau
- Quel cul ! son trou béant est prêt à accueillir nos bites.
Il s'approcha glissa sa main le long des coutures embrassant le nylon qui recouvre ses jambes, puis posât son membre gonflé à bloc sur la couture.
Il commença à se frotter de bas en haut, ses mains parcouraient les bas sur toute leur longueur, léchant la couture.
Elle remontait la jambe pour accentuer le frottement.
Il caressait aussi ses fesses pénétrant de ses doigts le trou bien ouvert.
Finalement dans un gros beuglement un jet puissant remonta sur la couture du Nylon, maculant toute la jambe.
- A vous, défoncez-la, elle n'attend que ça.
Avec vigueur le premier s'enfonça, la défonça sans retenu, elle hurlait de plaisir.
Après quelques grands coups de butoirs, il laissa sa place aux copains qui s'empressèrent de la combler en comblant la brèche.
Et pour finir ils firent une entrée à deux. Deux phallus dans l'orifice complétement défoncé passaient très bien. Le plaisir était à son comble.
Elle n'en pouvait plus, poussant des cris aigus.
La tournante dura un bon moment, la pénétrant chacun son tour.
Elle était tellement pleine que lorsqu'ils éjaculèrent le sperme ressorti coulant dans l'entre jambe.
Le chef des pompiers était assis sur le divan, elle s'approcha pris son membre dans la main le caressa jusqu'a avoir un phallus bien raide..
Et elle s'empala dessus allant et sortant lentement, humidement, haletant.
Ensuite il lui prit les jambes et les écarta, son copain arriva et la pénétra lentement.
La fête était loin d'être finie, l'attrapant par les cheveux un des pompiers enfonça son membre turgescent dans sa bouche.
Allant d'avant en en arrière avec ardeurs il s'enfonçait jusqu'au fond de sa gorge.
La bouche grande ouverte elle dégustait l 'opulent appendice sans oublier les deux autres pompiers qui la ramonait ardemment.
Le plaisir était à son comble.

Guépière de dentelles noires et bas Nylon gris

Elle était étendue sur le lit somnolente vêtue que de sa guêpière de dentelles noirs et de fin bas de Nylon à couture.
Je m'approchais le sexe tendu...
Je posais ma main sur sa toison, caressant la fourrure flamboyante et tournoyant les doigts dans les boucles rousses.
Je descendais jusqu'à l'entrée de l'abysse caressant le pédoncule longuement jusqu'à l'humidification.
Je pénétrais les doigts dans l'antre caressant le velours des parois.
Elle semblait assoupie ou peut-être faisait-elle semblant.
J'agitais les doigts à l'intérieur et aucune réactions.
Puis je mis deux doigts dans sa bouche qu'elle suça avec avidité.
Retour à l'écrin du plaisir où je pénétrait de mes doigts.
 

La jupe longue

Oui la  mini-jupe au ras du bonbon, révélant le haut des bas c'est  irrésistible (voir chapître 2 ou 6).
On ne peut  ne résister à l'envie de  la culbuter, remonter des yeux les coutures jusqu'au moiré des revers et enfoncer son membre gonflé d'exitation dans le groffre humide des délices.
Mais les jupes longues ont  leur charme, j'aime qu'elle en portent.
Remonter la jupe  délicatement, carresser ses jambes puis ses cuisses et monter.
Accrochés au hauts de ses bas pronent ses jaretelles que l'on caresse  du bouts des doigts en remontant vers la rousse toison.
Effeuillant son jardin secret, déflorant la corolle du pubis.
Enfouissant ses doigts dans l'antre du plaisir, les agitant, la faire gémir.
Plongant la tête dans l'entre-jambe la langue déflorant la corolle de son jardin secret.
La langue lappant le clitoris, le sucant, l'aspirant jusqu'à la délectation.
Ou glissant son  gland le long du gouffre humide et pénétrant lentement, délicatement, des râles de jouissances s'échappent de sa gorge.