Le summum était lorsque qu'une se penchait sur la poussette ...

Ma mère était en visite chez une amie, je savais qu'elle en aurait pour un petit bout de temps.
Je m'installais donc dans la chambre qui avait vue sur le parvis de la résidence.
La vue était magnifique, on pouvait voir passer les gens, surtout les femmes, à cette époque bénite la mini-jupe était de rigueur !
En bas les mamans étaient assises autour du bac à sable à regarder leurs gamins faire des pâtés.
Sur le banc en béton surveillaient leurs progénitures assise les jambes croisées, très intéressant ...
J'avais sorti ma longue vue et attendais, épiant les jambes et cuisses des passantes, j'espérai en choper une gainée de bas Nylon !
Les mamans sur le banc en béton surveillaient leurs progénitures assise les jambes croisées, très intéressant ...
Le summum était lorsque qu'une se penchait sur la poussette pour s'occuper du bébé !
Je pointais ma longue vue sur la cible, divin spectacle !
Il y avait aussi la rue qui passait devant l’immeuble, on pouvait admirer assise sur la banquette les cuisses parées dans leurs parures de Nylon.
La vision irisée du revers des bas éclairé par le soleil était un ravissement.

Elle apparue à la porte, elle portait de grandes bottes grises.

J'ouvrai c'était la copine de ma soeur!
Elle apparue à la porte, elle portait de grandes bottes grises, la courte jupe laissait entrevoir les clips de ses jarretelles.
- Bonjour, j'ai appris que ta mère vennait voir la mienne, et donc que tu serait seul aussi je me suis venue te tenir compagnie.
- Entres donc, assieds-toi, je t'amène un verre.
Assise ses jambes croisées relevaient sa jupe, je dévorai le revers de ses bas.

Chanel 12 cm

Sa jupe était largement remontée découvrant de splendides jarretelles

J'étais à une fête et au fond de la salle était assise une petite rouquine.
Sa jupe était largement remontée découvrant de splendides jarretelles de dentelles vertes, ses longues jambes gainées de Nylon gris était enchâssées dans de très hauts escarpins argentés.
Elle avait un visage d'ange, les yeux verts comme son chemisier largement ouvert sur la fine dentelle noires de son caraco, elle fumait une Marlboro.
Aspiré comme par un aimant je m'approchai et m’assis à côté d 'elle, posa une main sur sa cuisse et doucement glissait la main sous la jupe de lin écru aux fine rayures bleues pour caresser le chatoyant moiré irisé du revers de son bas.
- Hum, y'a des trésors là-dessous.
- T’es vraiment super mignonne toi, j'adore tes bas, ils sont si fins et si doux, le Nylon si soyeux chatoyants.
- Tu m'excites, je bande bien dur, j'ai la banane comme un canon, bien raide !
- Regardes !
Il ouvrit sa braguette d'où surgit un énorme pieu, ardemment dressé la bête était chargée à bloc.
- T'aime la bite petite, elle te plait, t'as envie de la sucer ?
Sans dire mots elle posa sa main sur le membre turgescent et le caressa lentement glissant la main de bas en haut.
Puis du bout des doigts elle en explora toute la longueur s'attardant sur le pourtour du gland.
Elle apposa ses lèvres rouges brillant le bout de la langue parcourant la longueur d’un bout à l'autre en oscillant lentement la tête.
Puis entoura le gland de de ses lèvres rouges brillant, la langue chatouillant le frénulum, elle sorti la langue et goba la bête entourant le gland de ses lèvres humides le lissant de la langue, léchant consciencieusement le renflement de la naissance du gland
Puis elle l'englouti goulument, sa langue tournoyant tout autour montant descendant en aspirant.
Puis elle l'englouti goulument, sa langue tournoyant  tout autour montant descendant en aspirant.
Finalement dans un râle de plaisir un geyser jaillit dans sa bouche, le sperme abondant resortait coulant le long de ma verge.

 

Bas sous pt'ite jupe verte

J'étais seule vétue d'une jupe verte et d'un chemiser à rayures vertes, escarpins hauts talons marine, dans l'appartement quand elle sonna.
C'était ma cousine que je n'avais pas vu depuis pas mal d'années, elle m'avait appelé car elle faisait un stage à côté de chez moi.
Elle portait une jupe de cuir mastic assez courte et moulante, je vis tout de suite ses jaretelles qui scultaient le cuir.
La  jupe laissait apparaitre le revers de ses bas gris et elle portait un sous pull col roulé beige.
Escarpins verni noir à très hauts talons.
Une opulente chevelure brune bouclée et yeux gris verts fine bouche, ravisante jeune femme.
Nous nous assîmes sur le canapé nous discutions à batons rompus depuis que l'on s'etaient vu il y avait de tonnes de choses à dire.
Je regardais ses cuisses gansées dans les bas Nylon et je compris maintenant pourqoui mon mari me demandait de porter des bas.
C'est vrai que c'est trés sexy ça m'exitait.
- Tu portes de très jolis bas ...
- Merci, tu peux toucher si tu veux.
Je caressais ses cuisses, nos yeux se croisèrent, nos lèvres s'approchèrent, nos bouches se touchèrent et nos langues s'entremélèrent.
Un baiser langoureux nous emporta.
Elle glissa sa main sous ma jupe remontant le long des jarretelles et retroussa la jupe.
- Toi aussi tu as de jolis bas, j'adore la couleur.
Elle retroussa largement ma jupe.
- Eh bien tu es une vraie rousse !
Elle carressa la toison puis frottant délicatement son doigt à l'entrée humide des délices, elle entamait les plaisirs.
Glissant deux doigts agités à l'interieur, du pouce caressant le capuchon le plaisir était à son comble.
Ses doigts tournoyaient et s'enfoncaient en aller-retour.
Sa langue effleurait mon vagin humide, une vague de plaisir m'envahit.
Elle fit tomber un filet de bave sur mon entre jambe et enfonça deux doigts dans mon anus.
Elle agitait ardament ses doigts tandis que de sa bouche elle suçait mes lévres et gobait mon clitoris.
De petit cris plaintifs sortait de ma gorge
Plus elle enfonçait ses doigts plus je jouissais, criais.
Puis enfonça deux doigts dans l'anus.
Elle approcha la bouche et lécha apprement mon vagin.
Les mouvement de va et viens me rendais follle, je poussais de petits cris.
Elle me bouffait littéralement la chatte.
Puis je me tournais, posa ma bouche sur sa chatte, ma langue s'agitait sur son calice détrempé.
Ses doigts continuaient leur massage sur l'orifice de l'antre du plaisir.
Je mouillais mon doigt et carressais le pourtour de son anus puis introduisis mon doigt.
Je massais le trou d'avant en arrière c'était doux, elle gémissait.