carnation
Dans la rue, le métro et aux toilettes du café
Le 15/07/2024
P'tit cul moulé dans une p'tite jupe blanche aux fines rayures bleues |
Elle portait une petite jupe blanche mi-cuisse rayée verticale de bleu et une tunique bleu.
Campée dans des escarpins argentés aux vertigineux fins talons, ses interminables jambes gainées de bas Nylon 'Tourterelles' arpentaient le quai.
Repérée dans les couloirs du métro, je lui emboîtai le pas, les yeux rivés sur la fente de la jupe qui s'ouvrait à chaque pas. Escalators et escaliers donnaient un point de vue rêvé sur le marbré du revers de ses bas.
En montant dans le wagon je ne pus résister à glisser ma main sous la jupe afin de caresser le Nylon et même peut-être la jarretelle puis lorsque le monde abondait j'en profitai pour peloter ses fesses discrètement.
Sortie du métro, Ah l'escalier divin ! Elle entra dans un café et s'assit à la terrasse, je la suivais évidement et m'assis non loin d'elle.
Elle commanda un p'tit blanc et moi un demi. Elle avait les jambes croisées et sa jupe était remontée jusqu'au clip des jarretelles. Elle avait des jarretelles turquoises assorties à son chemisier, magnifique ! Son généreux décolleté affichait les noires dentelles de ses pigeonnant balconnets de soie.
Le haut de ses bas se dévoilait totalement, affichant un gris moiré envoûtant, nappes argentées. J’étais fasciné, mon regard était rivé sur le Nylon gainant ses jambes.
Remontant des très fin talons vertigineux, j’observais les petits plis du Nylon au niveau du pied et de la cheville.
Regardant jusqu'au bas de la jupe, les revers irisés des Nylons brillaient de tous leurs feux.
Plus je la regardais et plus je bandais, j’étais chauffé à blanc, j’en pouvais plus, finalement je me lançais et me levais pour aller la voir.
Je l’abordais :
- Hé beauté, ça t'dirait une partie ? je t’attends en bas.
Dans un premier temps je fus offusquée, "Qu'est-ce qu'il croit ce connard !" mais j'étais bien émoustillée par ses caresses et ses filatures si bien que je descendis les escaliers.
Là il me poussa vers la paillasse les fesses sur le lavabo et enfouie ses doigts sous l'oppulente toison rousse.
Il inséra deux doigts dans le vagin, paume vers le ciel, sur une profondeur de deux phalanges et secoua, agitant la main ainsi placée de haut en bas de l'orifice vaginal, entrant sortant lentement, je tremblote, râle.
Puis plongea la tête dans la foisonnante fourrure de feu.
Il effleurait du bout de la langue le vestibule, léchant les petites lèvres, titillant la vulve,la tête renversée et la bouche entrouverte de petits cris s'échappaient du fond de ma gorge.
Puis du bout des lèvres dévorant, aspirant les petites lèvres appuyant fermement sur le capuchon en tournant. Il agitait le bout sa langue effleurant le haut des lèvres vers le capuchon, la pointe de sa langue pénétrant dans l'antre bordé par les lèvres.
Quel magnifique travail délicat et précis, je savourais chaque instant, une intense jouissance me parcourait le corps, je dodelinais en poussant de petis cris.
Ses doigts tournoyaient dans le vagin et sa langue m'excitait le clitoris il me bouffait la chate copieusement, je sentait le plaisir de plus en plus intense un chaleur monta dans ma gorge et l'orgasme éclata.
J'hurlai, haletente, un intense orgasme me traversa le corps en rafales, je sombrais dans la béatitude, le nirvana.
Je restais là à savourer l'instant, mais il ne me laissa pas longtemps,il me retourna sur la paillasse, caressa mes fesses et soudain un grand claquement, une claque sur chaque fesses j'hurla, ça fait mal ! je devais les avoir toutes rouges !
Il cracha dans ma raie des fesses et posa son gland dessus, il caressa doucement tournant autour du trou puis pénétra ledit trou, j’hurlais de nouveau.
Mais ses aller-retours commençaient à me plaire, des hurlements je passai aux gémissements, dieu que c'était bon. sa queue sortait de temps en temps mais c'était pour mieux renter et s’enfoncer encore plus profond.
Il me défonçait le cul à grand coups de buttoirs ponctués de cris, râles, hurlements.
De temps en temps un gars entrait dans les toilettes mais semblait ne pas prêter attention à nous, il passait faisait ce qu'ils était venu faire et sortait, certains quand mème regardaient longuement, leur sexe dur et gonflé dans la main se caressant.
Je ne sais pas jusqu'où ils allèrent, j'avais d'autres préoccupations que de les observer.
Campé sur mes hauts talons, les mains agrippées à la paillasse du lavabo, je dégustais ses attaques approfondies entrant dans mon corps.Chaque coups était une extase, un râle de plaisir ponctuait ses offensives .
Le pilonnage dura jusqu'à l'achevement du mâle, dans un immense rugissement il éructa d'un flot gigantesque remontant dans mon corps ce qui me provoqua un fantastique orgasme. Je restais là haletante, à l'agonie, savourant mon plaisir, puis je me retournais, je me trouvais face à lui, la dure verge qui m'avait pilonnée pendant des heures était là, molle, pendante. Je la caresssa puis les testicules, je les soupesais:
- Eh bien, quel jet ! ils se sont bien vidés, il ne doit plus y en avoir des masses là dedans.
- Détrompes-toi j'en ai encore plein.
- Ah bon ? je ne te crois pas.
- Vas-y tu veras bien.
J'attrapais le membre pendant:
- Ca peut encore servir ça ?
- Oh que oui !
Mes carresses avaient l'air de faire un peu de l'effet.
- Eh bien allons-y, on va bien voir si t'es un vantard!
Je me baissais donnant quelques baisers sur le gland puis l'avalais doucement, ma langue virevoltant autour tout en caressant les malheureuses boules.
Je tournoyais en double avec mes mains tous englobant légèrement le bout du menbre et en léchant toute la verge et de nouveau le gland.
Une lèche tout en douceur du haut du membre semblait porter ces fruits.
Et mes efforts finirent par payer! Elle devint plus dure mais pas encore fiérement dréssée mais j'avais bon espoir, je ne relachais pas l'effort.
Humm, j'avais maintenant en bouche un véritable phallus, un régal. Ma langue léchait chaque détail du gland qui me semblait'il avoir grossit lui aussi.
Je m'arretais sur le frein que je lécha du bout de la langue avec la plus grande attention, passant langue puis lèvre puis langue ...
J'engloutissais lentement tout en tournant la langue le membre maintenat fiérement dréssé puis je le resortait jusqu'au gland toujours en l'entourant de ma langue et j'avalais de nouveau ...
Je n'avais que le gland en bouche quand un premier jet arriva, c'était donc vrai, apparement ses boules étaient loin d'etre vides.
Le jet était copieux et le sperme coulait abondament le long de sa verge, je le récupérais d'un coup de langue et continuais ma lèche autour du gland.
Je me relevais, mon visage éatait couvert de sperme, et il me dit:
- Ouah ,qu'est-ce que c'était bon,tu es experte en la matiére, c'était un vertitable feu d'artifice, un déluge de jouissances.
- Oui la chaleur du flot de sperme dans ma bouche c'était divin, orgastique.
- Hé, On a pas fait la légionnaire, ça te dis ?
- Si tu as encore des forces, moi l'amour je pourrais faire ça toute la journée, tu sais.
A une belle fille comme toi, si séduisante, tellement désirable, je trouverai toujours la force de t'honorer, de te baiser jusqu'au bout de la nuit.
Sur ce il posa son gland sur le col de l'utérus caressant la vulve ,descendant au capuchon du clitoris, se glissant entre les lèvres,tout de suite je mouillais abondamment.
Dieu, qu'est-ce que c'était bon ! j'étais au nirvana, couchée sur le dos les yeux mi-clos, je basculais dans un océan de béatitude. Des gémissents de satifaction sortaient de ma gorge.
Puis il entra profondement dans le vagin pour en resortir lentement et carresser de nouveau.
Ces va-et-vients me rendaient folle , lorsqu'il me pénétrait le plaisir était décuplé, c'était vraiment jubilatoire, orgastique.
Chaque pénétration était une voluptueuse jouissance, s'enfoncant lentement et profondement dans mon ventre mes gémissemnts devinrent des vagissemnts de jouissance.
Et puis dans de fracassants grognements il gicla abondament, par à-coups sur mon ventre chaque jet arrosait un peu plus ma généreuse toison et mon bas ventre, mon ventre était totalement maculé par le nectar. Il continuait ses caresses en se frotant à ma fourrure.
Nous remontâmes ...
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Vendredi soir à la maison
Le 22/07/2024
Elle portait une courte jupe grise fermée de boutons sur l'arrière |
Elle portait une courte jupe grise fermée de boutons sur l'arrière, de hauts talons de velours noir, les longues jambes gainées de nylon gris de bas coutures.
La jupe arrivait au raz des revers de ses bas et on pouvait les voir subrepticement au hasard de ses mouvements.
Vers les 10 heures après le diner alors qu'on s'apprêtait un entamer le 'dessert' la sonnette vibra.
C'était un copain célibataire presque puceau enfin il n'avait pas de copines, seules les putes de temps en temps pour se vider les couilles.
A peine entré, ses yeux dévoraient les jambes voilées de Nylon.
Il eut des spasmes et un léger râle sorti de sa bouche Je pense qu'il avait jouis dans son pantalon, il devait être trempé.
On aurait dit qu'il avait vu un fantôme, sa voix était tremblotante.
- Eh qu'est-ce que tu as ?
- Ho, les bas coutures, je n'en avais jamais vu en vrai de si près, c'est magnifique et surtout très bandant, ce sont vraiment les plus belles jambes que je n'ai jamais vues.
- Merci.
- Et puis ses hauts talons me font chavirer.
- Quatorze centimètres et sans plateformes ! Elles te plaisent ?
Son pantalon gonflait à l'entre-jambes, ma femme s'assit, son regard fixait ses cuisses gainées de Nylon noir scintillant.
Mon épouse était partie chercher à boire dans notre bar, penchée au-dessus du coffre, elle demanda :
- Qu'est-ce que je te sers, whisky, gin, vodka, pastis ?
Mais il craquait pour le spectacle de ses jambes, il remontait les coutures jusqu'au haut des bas, là il plongeait dans les revers moirés.
- Alors tu veux quoi !
- Heu, je réfléchis, on n’est pas pressé ?
Il voulait gagner du temps pour mater le plus longtemps possible, je pense qu'il allait éclater.
Assise sa courte jupe ne cachait pas grand-chose, ce qui n'était pour déplaire notre ami. Il parcourait du regard le Nylon des hauts talons à la lisière de la jupe, il n'en perdait pas miette, il s'en délectait, il ne touchait même pas à son verre.
Puis ma femme renversa un verre sur le sol, elle se mis à quatre pattes pour ramasser les bouts de verres et nettoyer.
La jupe relevée révélait les revers moirés de ses bas jusqu'aux agrafes des jarretelles, je fis signe à Sylvain pour qu'il jouisse du spectacle.
- Regardes-moi ce p'tit cul ! on a vraiment envie de le défoncer, hein !
- Oh oui, Il hante mes rêves humides.
- Ce n’est pas vrai ! tu te masturbes en pensant à elle ?
- Souvent, ses hauts talons, ses bas, ça me fait craquer !
- Oui à chaque fois que je vous vois, Il arrive même que je gicle dans mon pantalon lorsque je lorgne sous sa jupe le haut de ses bas tellement elle me fait bander.
Je lui caressais les fesses et du doigt je suivais le pourtour de l'anus j'introduisit mon doigt, elle frétillait.
J'avais une forte érection j'en pouvait plus.
- Excuse-moi, elle m'excite trop, faut que je la défonce tout de suite. Dis-je tout en défaisant ma ceinture, ça ne te dérange pas ?
- Au contraire, je vais mater et me payer une super branlette ce soir en repensant à ça.
Je posais mon gland sur le trou humide, j'avais bavé abondamment dessus, puis m'introduisit calmement et lentement elle poussait de petits cris aigus puis une fois que j'avais pénétré un peu plus profond les petits cris se changèrent en “ Ah, Oh oui"
Elle commençait à râler de plus en plus fort et son souffle était saccadé.
Je voyais le copain qui se rinçait l'œil.
- Elle a l'air d'apprécier dis donc !
- Vas-y rince toi l'œil mais toi aussi tu dois être bien chargé, elle a la bouche ouverte et la langue pendante, profite-en pour te soulager, tu vas voir elle suce comme une reine.
Il approcha son membre turgescent de sa bouche.
- Allez ! Lèche-le, ne te fais pas prier, je sais que tu aimes ça.
J'empoignai sa crinière de rouquine et la poussait vers l'objet du plaisir.
Elle sortit sa langue et lécha doucement, la langue à plat, remontant consciencieusement le canal, tournoyant sur le gland puis posa ses lèvres sur le pourtour et goba la bête.
- Sois pas timide avale et suce la profond. Je secouai sa tignasse pour qu'elle y aille.
Elle engloba la verge en tournant et l'avala goulument jusqu'à la racine puis remonta en aspirant, là la bouche en rond elle oscillait la tête une bosse se dessinait sur sa joue. La langue en pointe tournoyait sur le frein.
A entendre ses gémissements de satisfaction qu'il poussait on se doutait qu'il appréciait et prenait du plaisir.
- Alors elle est bonne sa queue ?
- Oh oui, c'est bon, j'adore.
Elle enfonça sa bouche jusqu'à la garde tournant toujours sa langue autour.
Elle faillit s'étrangler et toussa.
- C'est bon ? Elle sait vraiment y faire, hein.
- Oh Oui, et sa langue qui va partout c'est fabuleux.
Elle descendit le long du canal les lèvres entrouvertes la langue sortie puis lui lécha les bourses et les avala, les lécha goulument.
Elle continua contentieusement son aller-retour jusqu'au terrible hurlement, une éruption gigantesque jaillit, sa bouche ne pouvait contenir tout ce flux, la semence se répandit le long de la verge maculant ses testicules un peu plus vides maintenant.
Elle s'enfonça pour essayer de récupérer je jus qui trainait puis lécha le gland maculé et continua, l'affaire semblait loin d'être terminée.
Puis elle lâcha prise pour hurler de plaisir, un copieux flot inondait son cul qui lui procura un divin orgasme, elle poussa un nouveau cri puis retourna à sa tâche engloutissant le membre.
Mon pénis sortit et il était encore vaillant fièrement dressé bien raide, je m'introduisis lentement dans l'autre de nouveau de petits gémissements sortaient de sa gorge malgré sa bouche pleine.
Elle était de nouveau occupée avec le pieu de notre ami, elle l’astiquait consciencieusement, je fis de même pour son trou béant.
Le second jet fut tout autant copieux, puis un troisième.
Là elle lui infligea le supplice du plaisir. De sa bouche entrouverte s’échappait un filet de semence qui se répandait sur sa verge encore dure.
Elle effleurait de ses lèvres le gland bien gonflé et le goba du bout des lèvres, la langue effleurait le gland avalant très lentement et doucement le pieu fièrement dressé.
Elle tournait autour léchant de la pointe de la langue le frein.
Elle monta à califourchon s'empalant sur le pieu qui s'introduis en elle, j'appelais l'ami.
- Je crois qu'il y a un trou de libre qui t'attends ...
Notre ami s'approcha et consciencieusement il déboutonna sa jupe qui tomba sur le sol.
Puis il embrassa ses fesses et lécha son anus en bavant copieusement.
Et il la fourra, elle cria. Et à chaque à coup de sa part de petits cris s'échappaient de sa bouche.
Empoignant sa rousse crinière pour ponctuer ses assauts il pénétrait de plus en plus profond.
Puis il s'échappa elle tourna elle se trouvait assise devant les deux gars le sexe tendu, elle les attrapa pour les gober tous deux.
Ensuite elle s'empala sur moi et l'ami s'enfonça dans son vagin dégoulinant.
Agrippé à sa cuisse et son cou, il décerner de violents assauts répétés elle les ponctuait de ptit cris.
Puis dans de puissants râles orgasmiques elle ralenti le rythme pour tomber dans une agonie.
puis elle s'agenouilla et se jeta sur nos queues nous suçant alternativement.
Il lui attrapa la tête et la força à l'engloutir jusqu'au fond de sa gorge l'étouffant presque.
Il martelait sa gorge avec sa queue, elle faisait des bruits de lavabo qui se débouche.
Finalement elle se dégagea, reprit son souffle et c'est juste à ce moment-là que j'excurait un gros paquet de semence, dans la bouche ouverte je le dégageais sur sa langue.
Elle récupéra tous les jets et renfouissa l'engin dans sa bouche pleine.
La bouche remplie de sperme elle continuait à sucer les deux phallus, la semence dégoulinait de sa bouche pour souiller sa poitrine.
Elle se caressa les seins étalant le sperme sur sa poitrine.
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L'anniversaire du copain
Le 22/07/2024
Cuissardes et bas couture |
Mon amie été vêtue d'une robe de laine et de cuissardes à haut talons, ses bottes montaient jusqu'au-dessus du genou.
La maille très fine de la robe moulante laissait apparaitre ses dessous, une magnifique guêpière en soie scintillante rouge bordée de dentelles noire.
On voyait bien les jarretelles clipsées aux bas noirs en transparence, bas à couture en l'occurrence.
Moi, je savais son penchant pour les tenues d'écolières aussi j'avais donc mis un kilt et un chemisier blanc et des escarpins au fins talons hauts bleu marine.
Le mini kilt était vraiment très court ne s'arrêtant qu'à la démarcation des revers des bas, je pense qu'il ravirait le mateur qu'est notre ami.
De plus fendue devant, ma cuisse sortait à chaque pas et aussi assise.
Tout d'abord l'apéro, on s'était assise en face de lui, on voulait le chauffer un peu. J'écartais un peu les cuisses pour qu'il voie ma touffe rousse, je n’avais pas mis de culotte.
Puis je me levais pour aller chercher les boissons dans la cuisine, je marchais d'une démarche chaloupée, ma jupe virevoltait, découvrant un peu plus mes cuisses.
Je servais les verres le dos à notre ami, en me penchant au-dessus de la table. Voilà une vision qui devrait bien l'exciter.
Je me rassis jambes croisées bien haut, je balançais mon escarpin du bout du pied.
La copine se leva pour s'assoir à côté de notre ami, elle lui susurra à l'oreille.
-Alors ça te plait le spectacle ?
Elle tata l'entre-jambe.
-Tu bandes dur, dis donc, c'est bien gros là-dessous.
Elle ouvrit la braguette et glissa la main dans le pantalon.
-C'est encore humide là-dedans !
Elle sortit la bête et la caressa, l'engin était fièrement dressé, bien raide.
- Regarde comme elle est belle bien gonflée, toute dure, prête à éclater, tu viens gouter ?
Je ne me fis pas prier, je m'assis en travers au bord du canapé à ses côtés et sortit ma langue, remontant le membre, arrivée en haut j'enfournai le gland tout en tournoyant la langue.
La copine s'affaira le long du canal, la bouche entrouverte et la pointe de la langue affleurant le membre.
Puis elle s'en prit aux boules les gobant presque entièrement les léchant goulument partout.
Chacune son tour on s'enfournait la chose en bouche puis les deux langues léchant le gland méticuleusement.
La bête était prise en sandwich entre nos lèvres, on allait et venait sur toute la longueur, montant est descendant en même temps.
La verge glissait entre nos bouches humides et les langues papillonnaient autour de la colonne du plaisir.
Chatouillant du bout la langue la naissance du frein tandis qu'une autre langue faisait le tour du gland.
Puis l'une après l'autre gobant le gland et le léchant méticuleusement
Les deux langues s'unirent sur le gland léchant toujours, ses râles étaient profonds.
La copine effleurait de ses les lèvres le frénulum tournoyant doucement, je lapais le bord du gland.
Les deux bouches, les deux langues nettoyaient avec précision le chapiteau de la colonne.
Puis nous nous embrassâmes entremêlant nos deux langues dans nos bouches baveuses.
Puis retour à l'enrobage les deux bouches enserrant le gland le léchant à foison avec rigueur et précision.
Enduit de salive son sexe brillait à la lumière.
Nos langues s'entremêlaient sur son gland lorsqu'un geyser en jaillit, par intermittence un flot de sperme s'écoulait sur sa verge.
Nous nous battions à coup de langues pour en récupérer le plus possible. A ses gémissements on sentait à quel point il jouissait, il n'en pouvait plus.
Puis elle se coucha sur le dos et je me mis à genoux devant la tête de la copine attrapant ses jambes, les écartant largement.
Il pénétra l'antre béant lentement jusqu'au fond puis sortant son sexe caressant doucement en surface le haut de la vulve puis l'introduisait de nouveau tout aussi lentement. Elle poussait des gémissements de satisfaction.
Lorsqu’il sortit son membre je l'attrapai de la bouche, les lèvres en rond d'avant arrière en tournant.
Ma langue tournoyait autour puis repris le sexe dans la bouche et il retourna dans la copine qui poussa un cri de plaisir.
Je récupérais la verge la bouche en cul de poule avançant et reculant, léchant méticuleusement le pourtour du gland.
Puis il je le lassait s'échapper de ma bouche et il s'enfonçait profondément dans l'antre humide un profond gémissement émanait de la copine en pleine jouissance.
Le manège dura longtemps jusqu'à qu'il jouisse en elle l'arrosant copieusement provocant en elle un brulant orgasme.
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L'anniversaire du neveu
Le 22/07/2024
jupe écosaise campée sur des hauts talons verts |
L'une était vêtue d'une jupe crayon écossaise bien au-dessus du genou et d'un gilet jaune en fine maille de laine, les lunettes de soleil en guise de serre-tête, campée sur des hauts talons verts à la semelle en cuir naturel.
L'autre montée sur de grandes bottes en peau retournée beige à hauts talons bottiers qui lui remontaient jusqu'au-dessus du genou les couvrants presque.
De là émergeaient de magnifiques cuisses recouvertes par le voile de ses bas gris.
Elle portait une courte jupe plissé à pan rouge qui volait au rythme de ses pas.
Oubliant mon neveu j’allais à leur rencontre.
- Mais où vas-tu comme ça ? Crie t'il.
- Nulle part de spécial, je marche c'est tout.
Nous étions maintenant tout proches et je découvrais avec délices ses jambes gansées dans de fin bas coutures hâlés.
Et que la minijupe virevoltante découvrais ses revers moirés.
- T'as vu, tu dois bander dur hein ?
- Oh, tonton !
Nous arrivions à un escalator, quel panorama !
La fente de la jupe crayon révélait le premier revers, une bande un peu plus foncée que le reste du bas bardée de petits trous, je plongeais le regard sous la jupe, admirable!
Et sur la petite! sa jupe découvrait les hauts des bas, revers gris moirés, un délice!
- Magnifique, hein ! Je l'impression que ton pantalon va éclater !
Arrivé à l'étage, je proposais au neveu d'aller flâner dans le magasin de jeu vidéo qui était devant nous.
- J'ai une petite course à faire, je reviens tout de suite.
Je rattrapais les deux jeunes filles et les abordais.
Je découvrais alors que le petit gilet jaune n'était pas boutonné jusqu'en haut et arborait les fines dentelles des balconnets.
Le maillot rouge n'était lui aussi pas bien fermé et on voyait les prémisses de son opulente poitrine, il semblerait qu'elle ne porte de soutien-gorge, ses tétons pointaient fièrement transperçant presque le tissu du maillot bien tendu sur sa poitrine.
- Bonjour, jolies demoiselles, puis-je me permettre, j'ai une requête à vous faire.
- Oh bien sûr, allez-y.
- Voilà, je suis ici avec mon neveu et c'est son anniversaire.
- Vous le verrié, il tout boutonneux, je pense qu'il n'a pas encore touché une fille. je voudrais lui faire un beau cadeau.
- On dit toujours que les faveurs d'une femme soignent les poussées d'acné.
- Peut-être que caresses et autres voluptueuses attentions lui ouvriraient les plaisirs de la vie, serait-ce une bonne idée?
- Qu'en pensez-vous, Etes-vous d'accord pour lui montrer les délices de la vie ?
- Oh en voilà une surprenante demande, vous nous prenez pour qui!
- Oh non pas du tout, je ne vous prends pas pour des filles faciles, bien au contraire, vous êtes si jolies que j'ai pensé que vous feriez un superbe cadeau.
- Très gentil, merci, on va réfléchir, je ne sais pas vraiment.
- Eh bien réfléchissez, je vous donne ma carte en espérant vous voir toutes les deux pour midi.
Nous nous apprêtions à prendre l'apéritif avec mon neveu quand on sonna à la porte.
Eh oui, elles sont venues !
- Oh quelle joie de vous voir, bienvenue !
- On s'est dit, on ne peut laisser ton neveu dans cet état.
- Nous allons lui prodiguer des soins appropriés.
- Entrez donc, c'est par là, regarde qui arrivent !
- Qu'en penses-tu, elles sont vraiment canons, non ?
Je les regardais avancer, ces bas coutures qui dansaient devant moi me rendait fou.
Et les grandes bottes surmontées de la minijupe qui couvrait à peine le haut des bas.
- Venez-vous asseoir sur le canapé, on va prendre l'apéritif.
Elle s'assirent en face du jeune.
La femme pris soin de croiser haut les jambes tirant sur sa jupe afin de découvrir au plus ses cuisses gansées de Nylon.
Quant à la jeune sa minijupe croisée s'ouvrait largement sur ses cuisses pas besoin d'effort pour donner un spectacle fabuleux.
- Alors on se rince l'œil petit !
- Oh non.
- Est-ce que tu as déjà vu une pièce porno ?
- On va te jouer une petite saynètes, ça s'appelle 'Salope de mère en fille".
Et sur ces entrefaites la femme entrepris d'ouvrir la braguette de l'oncle et d'en sortir sa verge.
-T'inquiète pas il va vite grossir et durcir grâce à mes savantes caresses.
La jeune se pencha et entrepris du bout de la langue de léchouiller le pourtour du gland.
Elle fut vite rejointe par sa 'mère' leurs mains caressant les testicules.
Puis l'une s'occupa du haut tandis que l'autre du bas gobant les testicules et les les léchant consciencieusement.
Elle léchait le gland en tournant et aspirant s'attardant sur le frein remontant jusqu'a l'orifice supérieur.
Les deux femmes s'attaquèrent à la bête, partageant le gland le gobant chacune son tour.
Puis en sandwich elles montaient et descendaient en même temps le long de la colonne les lèvres entrouvertes la langue s'agitant.
Elle avançait et reculait sur toute la longueur remuant en tous sens leurs langues sur la bête du gland aux testicules.
Tandis qu'elle léchait ardemment la colonne l'autre briquait le chapiteau.
Puis on passa à la deuxième scène.
La fille se coucha sur le canapé et l'oncle à cheval sur elle enfonça sa monstrueuse verge.
Il avançait s'enfonçant au plus profond de la gorge, il allait et venait dans son antre humide
- Tu peux venir toucher, caresse mes bas et mes jarretelles.
- C'est doux non, j'aime bien quand tu me caresses.
- Tu as remarqué je n'ai pas de culote. dit‘ elle en retroussant sa jupe.
- Tu as déjà fait un cunnilingus à ta petite copine ?
- Oh non,
- Eh bien je vais t'apprendre, pose ta bouche entre mes cuisses et sort ta langue.
- Maintenant lèche doucement et entre avec ta langue en pointe, hum, c'est bon!
- Un peu plus vite, lape comme un chat qui boit son lait.
La petite déboutonna son gilet et on découvrit que les dentelles étaient celles de sa guêpière en soie rouge elle s'emprit de caresser ses seins.
- Tu peux y mettre les doigts aussi, si tu veux, rentre deux doigts et tripatouille doucement l'intérieur.
- Tu es très doué, Oh oui, Ahh ...
Elle renversa la tête des grognements de lionne sortaient de sa gorge puis de petits cris aigus.
On aurait cru qu'elle s'étouffait mais c'était le coup de grâce elle sombrait dans la béatitude une lente agonie orgasmique.
- Et bien tu t'es bien débrouillé, tu as aimé ?
Maintenant on va s'attaquer aux choses sérieuses et elle l'emmena dans la chambre.
Là elle lui retira pantalon et chaussettes et se coucha sur le lit.
- Viens sur moi.
Elle prit dans la main son sexe tout dur et l'introduisit en elle.
- C'est bon non ?
- Oh oui.
Il avait bien compris et commença un va et vient.
- Pas trop vite, petit, il faut savourer ce moment, profiter de l'instant présent, tu sens comme c'est chaud et humide, qu'est-ce qu'on est bien là-dedans, tu ne trouves pas ?
Il avançait, reculant tout en vociférant des râles de plaisir tout comme elle en qui montait le bien-être de l'orgasme.
Elle éructât de petits cris secs pendant que lui grognai en giclant copieusement, l'inondation la combla elle criait de plus belle.
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