carnation
Blog bas coutures et hauts talons.
Le 15/07/2024
Bas carnation |
Ce blog raconte les péripéties de mon épouse du temps de sa jeunesse.
Il y en a aussi quelques-unes de ses amies.
Dans ce blog toutes les photos son perso.
Ce sont des photos de ma tendre et chère.
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Son cadeau d'anniversaire
Le 11/07/2024
La pauvre jupe si courte avait bien du mal à masquer le revers des bas |
Je lui avais demandé de s'habiller sexy pour la soirée haut talon, mini-jupe et bas couture.
Et la surprise arriva, le téléphone sonna, je répondis.
- C'était un collègue, il nous invite ce soir.
- Ah bon, à quelle heure ?
- Maintenant.
- Ok je vais me changer.
- Oh non ! on n’a pas le temps on doit y aller tout de suite.
- Tu es très bien comme ça, enfile ton manteau et on y va.
Ils arrivèrent, elle était vêtue d'un très beau manteau bleu clair trois quart d'où émergeait de magnifiques jambes campées dans de vertigineux escarpins bleus.
Débarrassée de son manteau elle apparue toute vêtue de doré, tunique dorée et mini-jupe dorée aussi.
La pauvre jupe si courte avait bien du mal à masquer le revers des bas.
La mini, très moulante, arborait le contour de ses jarretelles en relief.
- Ouah ! tu ne nous avais pas dit que ta copine était aussi canon, vachement bien roulée !
- Ils doivent tous être comme des petits chiens la langue pendantes et la queue dressée à son passage.
- Ils ne doivent pas s'embêter au bureau, ça doit y aller avec les collègues !
Un autre vociféra : Hauts talons, bas coutures, mini-jupe. Quel cocktail explosif !
Elle était de dos on pouvait laisser courir ses yeux de ses talons vertiges en remontant la couture partant du triangle du talon allant jusqu'au bas de la jupe.
Sa jupe si courte laissait entrevoir le moiré du revers de son bas.
- Ouh là, elle est sacrément courte ta mini-jupe, super sexy ! Quelles jambes ! Quel cul ! On va la défoncer par tous les trous, cette bombasse.
Elle s'était assise sur le canapé les jambes légèrement écartées, le gars d'à côté plongea son regard dans l'entre-jambe et murmura :
- Mais dit-donc en plus c'est une vrai rousse ta nana !
Il avait sorti de son pantalon son attribut masculin et se caressait. Je suppose qu'elle l'avait vu mais elle n'en laissa rien paraitre.
Le gars en face à côté d'elle posa une main sur son genou, elle ne réagit pas. Il s'engaillardit donc et remonta doucement le long la cuisse.
Elle le repoussa :
-Eh faut pas de gêner !
- Oh là, ma douce, on ne te veut pas de mal, bien au contraire.
Il réattaqua et réattaqua jusqu'à elle finisse par se laisser faire.
Là il s'attarda un peu, caressant du bout du doigt le clip sous le Nylon du bas et le petit ruban de soie noire.
La jupe était bien retroussée montrant sa toison rousse.
Il remonta tout en haut et atteignit la protubérance en-dessous de la rousse toison et commença une caresse circulaire.
Elle se laissa aller, bouche entrouverte, yeux mi-clos, au plaisir procuré par les caresses expertes de notre larron.
Elle poussait de petits cris tournoyant sa langue.
Puis à sa gauche fièrement dressé un gros phallus se languissait.
- Aller, vas-y, ne te fait pas prier je suis chauffé à blanc. Elle posa sa main gantée sur le membre turgescent comme si elle voulait en évaluer la qualité.
Et tournant autour, posa son pouce à la base du gland sur le frein qu'elle frotta lentement.
Puis la bouche entra en action, remontant le canal du bout de ses lèvres et tournoyant la pointe de sa langue à la base du gland.
Elle engloba son gland de ses lèvres rouges, on apercevait la langue qui s'agitait dans la bouche.
Elle alternait jeu des lèvres et jeu de langue léchant le tour de la base du gland.
Embrassant du bout des lèvres le gland puis le lécher en tournant et l'englober de nouveau et caresser avec la lèvre.
Monter descendre le canal. Engloutissant les bourses jusqu'à la garde.
- Gourmande la petite hein, quel magnifique travail ! Une véritable experte, quel spectacle ! Je bande comme un taureau.
Puis à tout l’entourage :
- Ouh là ! Là ! On dirait qu'elle aime la bite, la p’tite !
Il se leva et se dirigea vers elle, il s'agenouilla, pris sa jambe pour loger son pied sous son entre-jambe.
Il se frottait à sa jambe et elle lui caressa les testicules du bout de son escarpin.
Sa respiration s'accéléra, le souffle court on sentait les prémisses de l'orgasme Les râles allaient crescendo.
Et ça termina dans des râles gigantesques et tonitruants, elle lâcha prise.
On ne sait pas si c'est ça qu'il l’a déclenché mais le gars éructa une copieuse giclée de sa semence maculant le bas Nylon mais aussi les malheureux escarpins.
Tout ça n'empêchait pas notre amie d'exécuter méticuleusement son travail de la langue, des lèvres, de la bouche sur le gland et la verge.
Un autre gars, une autre verge, se présenta à sa bouche, elle les aspira l'une après l'autre avec vigueur.
Puis ils se rapprochèrent et elle avala les deux en même temps.
Un troisième s'était agenouillé la tête entre ses jambes, il léchait fort son minou, les doigts enfoncés dans l'antre de velours humide.
Il frottait en avant arrière, on l'entendait geindre malgré sa bouche pleine.
Finalement les deux gars jouirent en même temps, sa bouche ne pouvait contenir l'abondance du déluge de sperme, il ruisselait sur les joues, le cou, jusqu'à sa poitrine.
Et là elle partit dans un grand spasme, un cri puissant de jouissance sortit de sa gorge.
Elle avait des convulsions et des cris orgasmiques.
Elle suffoquait reprenant peu à peu son souffle en poussant de petits cris, mais la prie était loin d'être finie.
Un gars s'assit à côté d'elle le membre fièrement dressé.
Il l’attrapa et l'empala sur son dur phallus.
Elle entrait peu à peu toujours accompagnée de petits cris.
Elle s'agitait comme une folle dodelinant de la tête.
Son souffle était cour et elle geignait toujours.
Un acolyte arriva par derrière et lui enfonça deux doigts baveux dans l'anus.
Il tournoyait dans le trou comme pour l'agrandir puis retira ses doigts et entama une véritable pénétration de son phallus.
Elle hurla mais plus il s'enfonçait plus elle semblait ravie.
C'était surement sa première double pénétration et elle semblait comblée.
Elle haletait avec saccade au rythme soutenu des pénétrations.
Un troisième larron arriva et introduisit son sexe dans sa bouche qu'elle dégusta avec délectation.
Il allait et venait jusqu'au fond sa gorge, sa langue enlaçant la bête tumescente.
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Son cadeau d'anniversaire, variante
Le 17/07/2024
Bas coutures sous mini-jupe dorée |
L'hôte la débarrassa de son manteau et là on découvrit sa tenue : tunique dorée et mini-jupe dorée aussi.
Touche sexy, elle avait gardé ses grands gants en peau bleues qui montaient haut sur ses poignets
la pauvre jupe avait du mal à masquer le haut de ses bas. Ses jarretelles émergeaient du dessous en deux bosses sur le devant de la jupe, divin!
Elle se tourna et l'on put admirer ses jambes gainées de bas coutures !
Cela provoqua tollé de louanges, les éloges fusèrent.
- Yahoo! sacré p’tit lot ! avec un beau p’tit cul comme ça on ne va pas s’ennuyer !
- Oh purée , quelles jambes, quel cul ! j'en bave, comment j'vais la niquer, la labourer profond.
- Ca c'est sur on va s'éclater, la défoncer par tous les trous la petite, je bande déjà.
- T'es un p’tit chanceux toi !
Un autre vociféra : Hauts talons, bas coutures, mini-jupe. Quel cocktail explosif !
- Allez, vient donc t'assoir entre nous.
Au passage elle eu droit à un festival (florilège) de mains baladeuses, caressant cuisses et fesses, la plotant allègrement mais elle s'assit entre les deux gars sans broncher, aucunes remontrances.
Le gars à sa gauche passa sa main sur sa cuisse caressant la jarretelle qui émergeait au travers de sa jupe.
Devenant plus pressant, il s'élança vers le genou.
Mais quand il remonta la cuisse retroussant la jupe, elle réagit en repoussant sa main.
-Eh faut pas de gêner !
- Oh la, petite, calme-toi, on ne te veut pas de mal, bien au contraire.
Et il lui attrapa la tête par le cou et très fort de sa main lui tenant le menton l'embrassa avec vigueur enfonçant sa langue profondément.
Le baiser fut langoureux et intense mais elle ne baissa pas la garde.
Il réattaqua et réattaqua jusqu'à elle finisse par se laisser faire.
Et il récidiva dégageant la jarretelle et le revers moiré du bas Nylon, tentant de remonter la main jusqu'entre ses cuisses mais elle le repoussait fortement attrapant son bras.
Là il s'attarda un peu, caressant du bout du doigt le clip sous le Nylon du bas et le petit ruban de soie noire.
La jupe était bien retroussée montrant sa toison rousse.
Et remonta tout en haut, il atteignit la protubérance en-dessous de la rousse toison et commença une caresse circulaire.
Mais finalement l'homme, plus fort, réussit à atteindre son but. Ses doigts s'engouffrèrent dans sa toison ardente.
Là il glissa son doigt entre les lèvres puis remonta et du bout des doigts titillant le petit bouton caché dans le haut de la vulve.
Elle semblait se calmer, il relâcha son étreinte, elle se laissa aller aux caresses.
- Hé bien, il ronronne le minou maintenant.
Elle renversa la tête, la bouche entrouverte les yeux mis -clos, on voyait qu'elle s'abandonnait (sombrait) dans un océan de voluptés.
Elle se laissa aller, bouche entrouverte, yeux mi-clos, au plaisir procuré par les caresses expertes de notre larron.
Elle poussait de petits cris tournoyant sa langue.
Puis à sa gauche fièrement dressé un gros phallus se languissait.
- Aller, vas-y, ne te fait pas prier je suis chauffé à blanc. Elle posa sa main gantée sur le membre turgescent comme si elle voulait en évaluer la qualité.
Et tournant autour, posa son pouce à la base du gland sur le frein qu'elle frotta lentement.
Puis la bouche entra en action, remontant le canal du bout de ses lèvres et tournoyant la pointe de sa langue à la base du gland.
Elle engloba son gland de ses lèvres rouges, on apercevait la langue qui s'agitait dans la bouche.
Elle alternait jeu des lèvres et jeu de langue léchant le tour de la base du gland.
Embrassant du bout des lèvres le gland puis le lécher en tournant et l'englober de nouveau et caresser avec la lèvre.
Monter descendre le canal. Engloutissant bourse jusqu'à la garde.
- Gourmande la petite hein, quel magnifique travail ! Une véritable experte, quel spectacle ! Je bande comme un taureau.
Puis à tout l’entourage :
- Ouh là ! Là ! On dirait qu'elle aime la bite, la p’tite !
Il se leva et se dirigea vers elle, il s'agenouilla, pris sa jambe pour loger son pied sous son entre-jambe.
Il se frottait à sa jambe et elle lui caressa les testicules du bout de son escarpin.
Sa respiration s'accéléra, le souffle court on sentait les prémisses de l'orgasme Les râles allaient crescendo.
Et ça termina dans des râles gigantesques et tonitruants, elle lâcha prise.
On ne sait pas si c'est ça qu'il l’a déclenché mais le gars éructa une copieuse giclée de sa semence maculant le bas Nylon mais aussi les malheureux escarpins.
Tout ça n'empêchait pas notre amie d'exécuter méticuleusement son travail de la langue, des lèvres, de la bouche sur le gland et la verge.
S'enfonçant le pieu jusqu'au fond de sa gorge jusqu'a s'étrangler puis remontant lentement la bouche serrée en tournoyant sa langue tout autour du membre turgescent.
Plus le gars gémissait plus elle s'enfonçait en tournoyant et remontant pour du bout des lèvres savourer le gland surgonflé.
Un jet jaillit jusqu'au fond de la gorge dans un râle puissant il était pris de spammes projetant son nectar un peu partout sur son visage.
Le gars s'éclipsa pour laisser la place à un autre qui s'assit à côté d'elle.
Il l'attrapa par la taille et l'empala sur son membre fièrement dressé.
Au vu ou plutôt à l'entente de ses râles de satisfaction qu'elle prodiguait les aller-retours au fin fond de son trou humide lui procurait un certain plaisir.
Et un deuxième larron s'approcha, il posa son gland sur l'orifice restant libre et le poussa pénétrant lentement, petit à petit, dans son corps.
Elle criait deux fois plus, le plaisir étant doublé.
Sa bouche étant grande ouverte un troisième gaillard s'y introduit d'enfonçant jusqu'a la gorge, ses cris s'estompèrent.
Il l'avait agrippée par sa crinière flamboyante afin qu'elle avale bien jusqu'au fond son puissant appendice.
Il la chahutait allant d'avant en arrière frottant son sexe sur ses les lèvres.
La maintenant par la crinière il faisait de violents aller-retours donnant de gros coups de butoir dans le fond sa gorge, elle s'étouffait, suffoquait.
Puis il sortit légèrement son sexe afin de la laisser lécher le pourtour du gland.
Elle était très précautionneuse passant sa langue partout malgré les coups de butoir que lui assénait l'autre type.
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Au Bureau
Le 12/07/2024
Et l'on pouvait admirer le haut de ses bas |
Le chef s'approcha.
- Oh qu'est-ce que tu lis, elle feuilletait un magazine 'Union', c'est intéressant ?
Il abaissa le bras, posa la main sur sa cuisse et remonta la jupe découvrant ses jarretelles.
-Hum, mais c'est magnifique ça ! tu es vraiment trop mignonne, tu devrais faire attention, tu pourrais te faire croquer.
Puis lui caressant la joue :
- Une belle jeune fille comme toi aussi charmante et délicate saurait donner du plaisir du bout des lèvres avec sa petite langue.
- Tu sais qu'il est dans tes attributions d'être toujours aux petits soins pour ton supérieur, toujours des attentions les plus délicates.
- Ton rôle de collaboratrice est aussi de soulager son chef des lourdes charges de son travail par de délicats massages prodigués par ces jolies mains ou même cette délicieuse bouche, aux endroits sensibles.
- Tu sais j'apprécie beaucoup celle qui est bien attentionnée à mon égard, de délicates attentions de ta part attireraient toutes mes faveurs.
- Tu voudras être gentille avec moi, me donner du plaisir ?
-Tu comprends ce que je veux dire ?
- Tout à fait dit-elle en tournant la tête, elle caressa sa braguette de la paume de sa main longuement de bas en haut puis fit glisser le zip et déboucla la ceinture.
Plongeant sa main dans la fente du pantalon elle en sorti le membre turgescent qu'elle effleura du bout des doigts.
Elle posa ses lèvres sur le gland gonflé et sortit sa langue pour en lécher délicatement son pourtour puis l'englobant de ses lèvres elle tournoya autour, descendit lentement la colonne, la langue toujours active et remonta tout aussi lentement.
Ses lèvres sur gland sa langue tournoyant sur le frenulum. De la pointe de la langue elle lécha la fente du gland puis la bouche en rond sur le gland la langue continue son manège infernal.
Elle s'enfonçait très peu tournoyant autour du gland les lèvres frôlant la base du gland. Elle entrait et sortait le gland de ses lèvres gourmandes la langue léchant alternativement le frein et la petite fente
Un premier jet alla bien dans sa bouche mais le second inonda sa joue elle continua la lèche du gland la langue en pointe, le boss rugissait de plaisir.
- Félicitations ! tu viens d'obtenir toutes mes bonnes grâces.
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Coup de sang au réfectoire
Le 15/07/2024
La jupe crayon |
J'avançais dans la queue glissant mon plateau sur les rails, je tournais négligemment la tête vers la petite assistante à mes côtés, elle avait, jeté sur ses épaules, un gilet en fine maille de laine beige et que découvrais-je là ! une paire de très hauts escarpins, marrons avec un petit éclair beige sur le bout extérieur du pied, superbe, torride !
Au vu de la petite plissure derrière la cheville et sur le bout du pied, je soupçonnais qu'elle portait des bas, soupçons confirmés lorsque je contemplais sa jupe crayon prince de galles.
Sur le devant émergeaient en reliefs ses deux jarretelles !
Mon sang n'a fait qu'un tour, il me la fallait cette petite rouquine !
Et lorsqu'on s'assit pour manger je la vis en face de moi, les jambes croisées dévoilant le marbré du haut de ses bas hâlés, je n'en puis plus.
- Tu connais la petite derrière toi ? fis-je à mon collègue.
- Qui ça, la rouquine ?
- Oui, tu me la convoque pour 14 heures à mon bureau !
14 heures on toque ...
Entrez mon petit, j'aimais bien cette expression car ça affirmait mon autorité.
N'ayez crainte, je ne vous veux que du bien, venez ici, à côté de moi.
J'étais debout adossé à mon bureau, elle avança je reluquai ses jarretelles en relief sur sa jupe tendue, instantanément je bandais, la bite comme un taureau.
- Voilà, je cherche une assistante dévouée à mon service, prête à tout pour ma satisfaction, seriez-vous intéressée ?
- Bien sur la rémunération est nettement supérieure à ce que vous percevez aujourd'hui.
- C'est un poste à plein temps où vous devrez toujours être là pour répondre à mes envies ainsi qu'à celles de nos clients.
- Vous n'avez rien contre les déplacements ?
- Vous logerez dans de très bon hôtel, avec moi, ainsi que de très bon restaurants.
- Vous pouvez vous passer de votre mari quelques nuits de temps en temps, vous avez confiance en lui ?
Je caressais les bosses sur sa jupe :
- Qu'est-ce que cachent ses bosses ?
- Oh c'est mon secret.
- Holà ! Des cachoteries ? pas de secret avec moi, voyons voir, que cachez-vous là-dessous.
Je retroussais la jupe dévoilant les jarretelles.
Mais ! Comment pouviez-vous me cacher ça !
Vraiment ravissant, très excitant !
Je les caressais tous en continuant mon discours.
- Il faudra aussi être prévenantes avec les clients, les satisfaire totalement.
- Et surtout tu devras satisfaire à tous mes désirs.
- Et surtout lors de la visite de clients, ils doivent avoir du plaisir et de l'envie à te regarder.
- Je ne précise pas que ce poste demande une tenue impeccable, je vous veux toujours en jupe, bas et hauts talons.
Ma main remontait sur la cuisse la jupe découvrant maintenant sa fourrure pubienne.
- Ho là , mais c'est un véritable rousse que nous avons là !
Je caressais la toison de feu puis enfonçais deux doigts dans l'antre humide, le pouce titillant l'excroissance du clitoris.
Elle poussa un gémissement de satisfaction, je continuais donc mon investigation de son bas ventre, elle continuait à gémir.
- Bon, il y aura aussi quelques formalités à remplir si tu vous intéressée.
- Oh oui, bien sûr.
- Eh bien allons-y, commençons les formalités.
Je l’assis sur mon bureau et baissait mon pantalon, le gaillard dressé prêt à défoncer la frêle rouquine, je posais mon gland sur sa vulve et caressais son clitoris du bout la verge.
Je pénétrais dans l'alléchant orifice, sans aucunes difficultés tellement il était suintant, et là avec effarement je fus envahi d'un incroyable plaisir.
En elle sans bouger, j'atteignais le nirvana, c'était sublime.
Puis elle effectua de fortes contractions emprisonnant fermement ma virilité, l'effet était subjuguant, divins instants.
Je restais là éberlué je ne bougais plus savourant l'instant, puis j'exécutais de légères ondulations d'avant en arrière, je baignais en son ventre dans le plaisir.
Elle haletait, puis poussa de petits gémissements
- Oh oui ! cria t-elle. Puis sanglotant "Oh oui".
Je continuais mes mouvements d'avant en arrière puis j'accélérais la cadence, ses cris devirent de plus en plus soutenus.
Elle balançait la tête de gauche à droite avec frénésie les cris montaient vers une apothéose orgasmique.
Et de énormes rugissements orgasmiques jaillirent de sa gorge, elle se cambra et fut pris de convulsions de plaisir.
Puis haletante elle s'effondrait sur le bureau, béate la bouche ouverte de la bave coulait de la commissure des lèvres.
On prétend que les rousses sont chaudes, eh bien je l'assure ce n'est pas une légende, cette lionne en est la preuve vivante !
Elle reprenait doucement son souffle savourant l'immense plaisir qui venait de l'inonder.
- Bien, bien, ce premier test me parait concluant, on continue ?
- Oh oui ...
Mon sexe était toujours aussi dur, aussi gros, elle le caressa puis le pris en main pour le diriger vers son autre trou pour que je m'y soulage.
J'entrais doucement, un cri sortit de sa bouche puis peu à peu je m’enfonçais en elle, les cris s'étaient transformés en gémissements de satisfaction.
Apparemment ça lui plaisait bien, je continuais donc à la limer profond.
Des " Oh oui" ponctuaient mes assauts enfournant au plus profond, j'accélérais elle geignait de plus en plus fort.
Je ressortais du trou pour y replonger plus fort, plus profond, à chaque passage le trou s'était agrandi, l'introduction était plus forte.
Elle s'était cambrée, la tête renversée, ses cris était de plus en plus intense, je la pilonnais sans relâche, elle rugissait.
Le bureau grinçait il menaçait de s'écrouler, jusqu'à l'apothéose, je giclais abondamment dans son corps.
Le flux soutenu et chaud l'envahit totalement, elle jouit en un hurlement torride.
Elle sombra de nouveau dans un coma orgasmique, elle haletait et geignait doucement.
-He bien, mademoiselle, il semblerait que vous remplissiez totalement les conditions, vous dépassez largement les compétences requises.
Revenez un peu plus tard pour signer votre nouveau contrat le temps que je le prépare.
Vers 16 heures elle revenait, toujours aussi bandante dans sa jupe cintrée, les jarretelles proéminentes et ses petits escarpins aux talons vertigineux, cette vision mettait ma queue en émoi, j'avais toujours une folle envie de la défoncer.
Voilà, dis-je en brandissant le contrat, vous n'avez plus qu'à signer.
Elle s'assit devant le bureau et signa les papiers.
- Maintenant je vais te donner le cadeau de bienvenu.
- Ah oui, c'est quoi ?
- C'est une surprise ...
Je m'agenouillais, retroussais sa jupe et plongeais tête baissée dans l'entre-jambe.
- Ouh la ! fit-t-elle.
Elle écarta les cuisses pour me laisser entrer plus profond.
La langue pénétrait profondément dans son antre dégoulinant de bave, je remontais et aspirais le petit capuchon.
Je la sentais se laisser partir dans cet océan de plaisir, elle poussait des cris plaintifs, étouffés et languissants, exprimant sa béatitude.
Sa tête était chancelante la bouche entrouverte laissait échapper un filet de bave.
Puis elle se cambra sur sa chaise renversant la tête, je crois qu'elle allait arracher les accoudoirs, de petits cris aigus s'échappait de sa gorge.
C'était de plus en plus intense, j'avais introduit les doigts et trifouillais son trou dans tous les sens, ça semblait la rendre folle.
Les râles sortaient du fond de sa gorge, le plaisir était à son comble.
Elle poussa un ultime hurlement éjectant de sa liqueur et tomba de nouveau en agonie orgasmique.
Ayant repris ses esprits, elle dit.
- Merci, c'était fantastique, je suis encore toute retournée, mais quand est-ce que mon poste commence ?
- mais dès maintenant si vous voulez.
- Ah très bien.
Elle leva la main attrapa ma ceinture, la dégrafa et fis glisser le zip.
Sa main plongea dans ma braguette et en sorti mon appendice qu’elle lécha immédiatement sur toute la longueur.
La bête gonfla bien vite et devint bien dure, elle goba le gland l'entourant de ses lèvres rouges, sa langue pointue en léchait le pourtour, puis bouche entrouverte elle le caressait de ses lèvres humides ou même seulement de son souffle.
Du bout de langue elle lécha le méat urétral, c'était divin, au plus intense plaisir.
Elle passait ses lèvres et sa langue autour du gland l'effleurant à peine puis délicats bisous.
La langue descendant le long du canal elle goba mes boules et les aspirant en les léchant consciencieusement puis remontant et s'agitant longuement sur le frein.
Et montant plus haut avalant la totalité du gland, la tête oscillante.
Ses mains tournoyaient tandis qu'elle s'enfonçait jusqu'au plus profond de sa gorge, gorges profondes ...
Elle s'étouffait mais continuait à l'enfoncer plus profond dans sa gorge.
Ensuite elle retourna à l'aspiration lente du gland accompagné de petit coup de langue, elle le rentrait légèrement dans sa bouche puis le ressortait.
La petite langue pointue s'affairait sur le frénulum, puis les lèvres englobait le bout de la verge, j'étais au septième ciel.
Puis le liquide jaillit en un flot spasmodique, les jets ne pénétrèrent pas tous dans sa bouche, sa joue en était maculée ses yeux étaient atteint, le jus se rependait le long de mon membre, elle l'avala pour en récupérer toute la sève.
Elle continua à caresser le gland des lèvres tournant autour, la bouche dégoulinante de sperme.
Elle se dégagea de sa proie son visage était maculé de sperme, les lèvres, les joues, les yeux, jusqu'aux cheveux éclaboussés.
- Eh bien, Mademoiselle, il semble que vous connaissez parfaitement votre affaire, vous êtes tout à fait compétente, si ce n'était pas déjà fait je vous aurai embauché sur le champ.
-Je suis contente que vous ayez apprécier, à demain.
- Oui, à demain mon petit.
Et ce fut comme ça au bureau, trois à quatre fois par jour.
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